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parti socialiste
DSK, aidé par ses amis trotskistes, a été le penseur et le rédacteur des 101 propositions de Mitterrand en 1981. Son but, qu’il a avoué par la suite, était de stabiliser l’électorat autour d’un PS qui avait été noyauté par 400 trotskistes « achetés » par Mitterrand. |
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Lors de l’élection présidentielle américaine de 2004, Kerry avait été qualifié par ses adversaires de candidat Flip-Flop car il changeait d’avis sur tout en permanence. |
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Qui peut mieux décrire Hollande que ses « amis » socialistes ? Les surnoms dont il a été affublé en disent long sur sa perception au sein de sa propre famille politique. Au-delà de ces quolibets attribués à des personnalités, il y a tous ceux venant des anonymes du parti socialiste : Salsifis à Lunettes, Culbuto, Frère Benêt, Chamallow, Mou du Gland,… Vous l’aurez remarqué, tous les surnoms de Hollande tournent autour du même thème : son manque de colonne vertébrale et de détermination, son penchant pour la synthèse au détriment de l’action. |
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Les récentes affaires qui se multiplient à l’approche des élections peuvent laisser l’impression dangereuse d’une corruption généralisée. Heureusement, tous les politiques ne sont pas corrompus mais beaucoup profitent du système tout en accusant le voisin pour des broutilles. |
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Les 40 dernières années ont été marquées par l’infantilisation de la société française. Les adultes, qui avaient autrefois pour devoir de préparer l’avenir de leurs enfants ont abdiqué cette responsabilité. La génération de 68 a avant tout recherché son confort, son plaisir, sa libération sexuelle, à travers la musique, les loisirs, le sport, le jeu, les vacances, le sexe, la drogue. Ils dépensaient tout ce qu’ils gagnaient sans se soucier d’un avenir pris en charge par les organismes de répartition de l’état providence. Dans une France riche, la facilité a triomphé. Et certains politiques ont tout fait pour que cette infantilisation fonctionne à leur profit, grâce à un populisme bien calculé. On a mis en place un système basé sur la culture générale, les loisirs, l’emploi confortable à vie, l’assistanat, le financement des avantages acquis par la dette, une dépense croissante et irréversible de l’état, une addition laissée aux générations futures. |
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Le parti socialiste sous la houlette de Martine Aubry, spécialiste des bonnes idées, est en train de réchauffer en les diluant les 110 propositions faites en 1980 par Mitterrand. Celui-ci ne comprenant rien à l’économie avait chargé DSK du travail. |
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