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dsk
L’élection de Hollande n’est qu’un trompe-l’œil : ce sont les trotskistes qui ont pris le pouvoir le 6 mai 2012. |
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Voici la version officielle propagée par la presse de gauche : une enfant modeste, élevée dans un lotissement HLM et qui, à la mort de son père a travaillé comme hôtesse d’accueil à la patinoire d’Angers. Rien n’est plus faux ! |
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Le film des primaires socialistes a duré, en fait, plusieurs années. Sarkozy a fait nommer DSK au FMI pour illustrer son esprit d’ouverture - ce qui a été totalement inutile car nul ne lui en a fait crédit - mais surtout pour mettre en selle un adversaire futur à la présidentielle qu’il savait très vulnérable. Les dossiers bien gras que nous connaissons aujourd’hui (l’affaire du Carlton, entre autres) seraient sortis au moment opportun. |
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DSK, aidé par ses amis trotskistes, a été le penseur et le rédacteur des 101 propositions de Mitterrand en 1981. Son but, qu’il a avoué par la suite, était de stabiliser l’électorat autour d’un PS qui avait été noyauté par 400 trotskistes « achetés » par Mitterrand. |
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« Tout corps plongé dans un bocal de cornichons devient un cornichon » DSK, Juin 2007, après sa démission du Bureau National du PS. |
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DSK était leur exemple, leur idéal, leur candidat, bientôt leur président. On savait qu’il aimait les femmes et que lui et son épouse étaient riches mais tout cela restait abstrait (sauf pour celles qui le côtoyaient de trop très, bien sûr…). Maintenant c’est devenu concret. On sait ce qu’aimer les femmes veut dire pour DSK et sa fortune devient tangible : un loyer mensuel à NY de 30x le smic, des frais d’avocats de plusieurs millions de dollars, une possible transaction au civil elle aussi de plusieurs millions de dollars. Et pour se défendre, il va devoir démolir une femme noire et pauvre qui travaille pour élever sa fille et qui n’a eu que le seul tort de le croiser : voilà le candidat que la gauche française s’apprêtait à plébisciter. |
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Mesdames les Vaches à lait, vous avez bien raison. Depuis 1981, les affaires politiques / financières / judiciaires ont émaillé la carrière des pseudos socialistes. Bien qu’elles soient loin d’être anecdotiques, elles n’ont cependant rien à voir avec le hold-up des voix réalisé par l’embauche de fonctionnaires. |
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Le parti socialiste sous la houlette de Martine Aubry, spécialiste des bonnes idées, est en train de réchauffer en les diluant les 110 propositions faites en 1980 par Mitterrand. Celui-ci ne comprenant rien à l’économie avait chargé DSK du travail. |
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