Mitterrand a été le premier grand corrupteur depuis le début de la cinquième République. Il a acheté ses élections à coups de milliards en promettant des postes de fonctionnaires, des réductions du temps de travail, la diminution de l’âge de départ à la retraite – le tout aux frais de la France. En matière de clientélisme, il n’a rien à envier à Peron ou à Chavez. Il a montré l’exemple aux socialistes de France, qui, du sud au nord, de Guérini à Aubri, ont triché, pillé, détourné, bourré les urnes, acheté des voix, truandé les appels d’offre.