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Le corrupteur et ses complices

Mitterrand a été le premier grand corrupteur depuis le début de la cinquième République. Il a acheté ses élections à coups de milliards en promettant des postes de fonctionnaires, des réductions du temps de travail, la diminution de l’âge de départ à la retraite – le tout aux frais de la France. En matière de clientélisme, il n’a rien à envier à Peron ou à Chavez. Il a montré l’exemple aux socialistes de France, qui, du sud au nord, de Guérini à Aubri, ont triché, pillé, détourné, bourré les urnes, acheté des voix, truandé les appels d’offre.

Le clientélisme de gauche ou la forme politique de la corruption

Le clientélisme est une méthode de corruption. Pendant très longtemps en France, ce clientélisme s’exprimait au plan local et peu au plan national. C’est son explosion qui pose un problème de démocratie en France.

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